Collection Escorte - Girl. La Jolie Petite Japonaise. Fin De L’Histoire (6/6)

• Bonjour Tonton !
• Comme je suis content de ta venue, je vis en reclus ici, dans cette villa la seule femme, c’est Hosni, fait gaffe Hanabi, à part les femmes, elle refuse tout rapport avec des hommes.
Embrasse-moi, donne-moi tes douces lèvres.

Tonton est toujours aussi entreprenant, nos bouches se soudent.

• Petite cochonne, tu me laisses déblatérer contre Hosni et je sens le goût de la cyprine sur tes lèvres.
Tu étais seule avec elle dans la cabine, aucune difficulté de pensée que c’est sa cyprine dont elle t’a fait cadeau.
Tu aimes les femmes maintenant !
• Non, Tonton, c’était la première fois avec une congénère, mais je dois reconnaître que j’ai bien aimé.
Laisse-moi m’occuper de toi Tonton, tu verras que ta petite salope sait toujours s’occuper des bites des hommes.

Quand je pose ma main sur la braguette de mon oncle, sa bite est déjà tendue certainement à lui faire mal.
Le pauvre homme, seul, entouré d’une gouine et de yakusas.
Quand je lui rends sa liberté, elle doit me remercier, car m’agenouillant elle me saute dans la bouche.

• Oh ! Chie, tes lèvres avec la cyprine d’Hoshi, j’ai l’impression d’être dans sa chatte.

C’est la première fois depuis des lunes que Tonton m’appelle par mon vrai nom.
Je croyais que c’était la pute qu’il avait faite de moi qui l’intéressais.
Je découvre dans un moment de solitude qu’il a du sentiment pour moi ou alors ça cache quelque chose.
Il me conduit dans sa chambre avec un lit où j’ai peur de me perdre.
Au moins de large et plus de long.
Je me relève et l’entraîne sur le lit avant de le reprendre en bouche.
Je le masturbe une ou deux fois...

• Bonjour belle fleur, tu as bien dormi !
• Tonton, je me suis...
• Endormi alors que tu me suçais, certainement le décalage horaire, sept heures avec Paris, mais on va se rattr.

Pour se rattr, on se ratt.


On se lâche même, mais pour changer de position.
S’il y a des moments de repos, c’est pour mieux reprendre notre souffle.
Tonton a fait de moi ce qu’il pensait être une pute au service de ses intérêts, en réalité, il a fait de moi une femme folle de sexe sans aucun sentiment.
S’il savait le nombre d’hommes qui m’ont eu dans mon lit ou dans celui d’un hôtel fût de haut luxe et que j’ai quitté au matin sans aucun regret que celui d’un travail bien fait.
Il serait fier de ce qu’il a fait de moi.
Surtout que depuis à Paris, j’ai commencé à mettre ses yakusas à ma botte, j’ai les dents plutôt longues.
Je veux être la reine de tous les Japonais et Japonaise de ma ville de naissance.
Je veux que mon père, s’il a é une fille, ait en réalité, mis au monde un yakusa femelle.
Sans qu’ils sachent comment je gagne réellement ma vie, ayant pris en compte que je suis traductrice, maman Isao et papa Aiko sont venus manger des Sushis commandés par Internet.
Il va sans le dire que j’ai appuyé une seule fois sur le fichier de commandes.
Voir des yakusas débarquer dans mon appartement pour nous livrer des sushis auraient fait désordre pour ces vieilles personnes.
Le principal, c’est qu’ils pensent que leur petite fille est toujours restée dans le droit chemin après l’éducation qu’ils lui ont donnée.

• Je t’ai dénudé, pour que tu puisses respirer plus librement, je viens de découvrir que la petite fille que j’ai mise au monde pour en faire une femme avait bien grandi.
Un point faible dans tes tatouages, tes seins, je me souviens de ma réponse à Paris quand tu as découvert ma verge tatouée qu’un vrai yakusa devait savoir supporter la douleur afin d’être digne de rejoindre cette organisation.
• Tonton, Hoshi, votre secrétaire, devait connaître ce détail, car elle m’a demandé d’avoir des étoiles comme son nom le suggère à cette place.
Il y a un tatoueur sur l’île d’Izu où nous nous trouvons.

Veux-tu que je le convoque ?
• Est-ce pour cela que tu m’as convoqué ?
• Tu as raison, les affaires avant les moments de plaisir !
Rejoignons mon bureau, Gilles mon fils doit nous y rejoindre.

Nous nous rhabillons et traversons cette magnifique propriété.

• Bonjour Gilles, content de te revoir.
• Trèves de baliverne, les s, voici ce qui m’arrive.
Hoshi, vous prendrez tout en note.
• Oui, monsieur !
• Depuis quelque temps, l’indépendance des femmes a atteint jusqu’à notre société.
La personne qui a décidé de prendre ma place avec l’aide de sa bande de cèlera se fait appeler Chikara, on peut traduire ce nom en « puissance. »
Elle a les dents longues et si j’étais resté à Tokyo, sa bande d’hommes sans foi ni loi m’aurait abattu.
Ici, la villa est plus facile à protéger pour mes gars, le seul chemin pour venir, c’est par la mer, ils sont toujours deux à surveiller qui arrive.
Je suis protégé en attendant que l’on fasse ce qu’il faut pour retrouver mon indépendance de mouvement.
Gilles, tu es le seul qui peut aller et venir au Japon pour que mes affaires continues à tourner.
Tu vas prendre en main les pays asiatiques, je t’ai préparé tous les dossiers.
• Bien papa, tu peux compter sur moi.
• Toi Chie, tu t’occupes de l’Europe, je sais que tu travailles déjà avec les Yakusas parisiens.
Tu sais ma chérie, un vrai chef s’est placé ses pions et les miens sont là où il faut.
Voici une clef USB, tout est dedans, avec ça je suis à poil, je compte sur toi.
• Fujiko croit moi, loin de moi l’idée de te surplanter, mais je pense qu’il y a quelque chose à faire de plus pour gagner du fric.
La prostitution par Internet.
Je voulais venir te voir quand tu as appelé pour te soumettre le projet.
Ce réseau d’escorte serait exclusivement constitué de Japonaises, que tu vas trouver et m’envoyer.
Il m’en faut vingt-quatre toutes parlant Français et Anglais.

Gilles, tu vas me monter le site où vous mettrez les filles une fois que vous les aurez trouvés.
• Gilles, voilà un dossier de plus, chercher du côté de l’école française de Tokyo, sinon, tu leur payes des cours par méthodes accélérées avant de les envoyer à Chie.
• Ok papa, je me mets au travail merci pour la confiance que tu as en moi, je vais être à la hauteur même si mon corps est vierge de tatouage.
• J’ai une autre demande à te faire Tonton, si elle est d’accord, je souhaite rentrer à Paris avec Hoshi, je vais avoir besoin d’une épaule forte.
• Je serais la plus heureuse, monsieur, je peux y aller.
• J’ai fait une erreur quand j’ai dit que Hoshi était la seule femme, la seule baisable, il me reste la grosse Hanabusa, littéralement pétale de fleur.
Je vais m’en contenter.
• J’ai pitié de toi Tonton, appelle ton fils pour lui dire de faire passer ses trouvailles par ici.
Tu les formeras le temps qu’il faudra, comme tu m’as formé, as ce que je sache, tu peux t’en féliciter.

Gilles nous quitte, il est venu dans son embarcation personnelle.

• Tonton, je suis fatigué, encore le décalage horaire, allons dans ta chambre.
Hoshi vient avec nous si tu veux que Tonton te paye ton billet.
• Je nous fais servir un petit encas, je pense que nous aurons faim.

Nous rejoignons la chambre, je me déshabille et m’allonge sur le lit le temps que Tonton s’occupe du plateau-repas avec la grosse.

• Hoshi enlève ton kimono, je veux faire voir à Fujiko le tatouage que tu m’as montré.
Il est temps pour toi de connaître les hommes, tu verras à Paris, j’ai quelques amants avec lesquels nous nous éclaterons.
• Me voilà.
Si je m’attendais !
• Eh ! oui, je veux que tu fasses à mon amie ce que tu m’as fait et dont je peux me louer aujourd’hui.
Je te l’offre.

Voilà nous sommes de retour à Paris.
Tonton a pris son pied pendant trois jours avec deux salopes.

L’une toute neuve qui sait maintenant sucer comme une bonne petite la bite de Fuyumi, mon yakusa préféré.
J’ai reçu deux filles, il les a essayés, elles vont nous rapporter gros surtout quand elles seront vingt-quatre.
Les yeux bridés ça plait comme j’ai plu et que je plais encore.
Certains clients, ce sont mes putes qui les reçoivent sans paiement, il va de soi, j’ai engrangé avant.
Les plus gros, j’aime qu’ils nous emmènent dans les plus grands restaurants parisiens avant de rejoindre leur chambre dans des hôtels de haut luxe.
Ils aiment, à avoir deux femmes se gouinant devant eux avant de nous prendre alternativement.
Il y a eu plusieurs fois où ils étaient deux, j’adore voir Hoshi se faire prendre en double pénétration pendant que je lui suce les seins ornés comme les miens avec une étoile sur chacun d’eux.
Mon corps l’est intégralement, sur le sien, il reste assez de place pour que j’en face une œuvre d’art.

Un autre point, Tonton est libre.
Internet, c’est bien, je peux lire la presse japonaise.
Chikara, son ennemie est morte, ou tout comme, car elle a mystérieusement disparu.

Un point m’interpelle.
Papa est venu m’annoncer qu’avec maman, ils partaient au Japon pour retrouver leurs racines.
Dans la presse, ils annoncent le retour d’un des plus grands yakusas parti en exil pour sauver son amour de jeunesse.
Moi qui les prenais pour un couple fade et banal, le Japon vient de retrouver l’un de ses plus grands maîtres yakusas.

Ici à Paris, je me prépare à les remplacer dès que le moment sera arrivé.
Il faut avoir de l’avenir dans ma profession, je suis une YAKUSA.

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